hier j'ai participé à deux défis que j'ai mis en ligne sur instagram. je n'étais pas fière des résultats. devrais-je les présenter ou pas? à l'air des médias sociaux, que doit-on faire?
j'ai choisi la réalité, c’est-à-dire les bons et les moins bons coups parce que oui, des fois, on n’est pas bon et ça fait partie du processus et de l'apprentissage. ne pas les présenter aux gens qui me suivent serait de leur mentir un peu.
dans le premier cas, j'ai travaillé avec de l'aquarelle, des crayons-feutres qui se diluent au contact de l'eau et un peu de crayon de bois qui n'a pas aidé... pour l'autre, j'ai fait mon dessin à la gouache, mais j'ai décidé de faire quelques traits avec des pastels à l'huile. cette idée fonctionne bien, mais le dessin reste ordinaire.
il y a des contrastes dans une journée. j'avais vendu mon livre «m2» en février dernier à une galerie de boston. ils viennent de mettre l'exposition «pressing issues» en ligne. ça fait drôle de voir mon livre parmi tous les autres. je suis contente de faire partie d'une exposition à saveur sociale. mon travail côtoie des œuvres remarquables. comme quoi on ne sait jamais où et comment notre créativité fera son chemin.
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