la semaine dernière j'ai acheté deux «bookzines»: le deuxième numéro de premium et le dernier nunuche. apparemment, un «bookzine» serait une publication format magazine, mais avec du contenu qu'on voudra garder plus longtemps qu'un mensuel.
j'ai acheté nunuche, parce que je suis une fan. j'avais acheté le premier nunuche qu'élise gravel avait créé et réalisé elle-même d'un bout à l'autre. celui-ci a été fait en collaboration avec plusieurs personnes. le contenu est plus riche et diversifié. j'ai bien rigolé. j'ajouterai tout de même que je me suis ennuyée du personnage de «nunuche» (et des illustrations d'élise) qu'on ne voit (presque) plus. on est plutôt dans l'hyperréaliste comique aux retouches photoshop. cette nouvelle facture graphique plaira aux ados... et adultes.
nunuche sur facebook
dans le cas de premium, le dernier numéro porte sur la créativité. je n'ai pas eu le temps de le lire, mais à le feuilleter lentement, plusieurs des textes avaient l'air vraiment intéressants. le contenu de cette publication est, en grande partie, tiré de plusieurs magazines (anglophones) sur la gestion. pouvoir lire ces textes en français est un bel avantage.
dans les deux cas, ces «bookzines» coûtent autour de 15 $.
j'ai acheté nunuche, parce que je suis une fan. j'avais acheté le premier nunuche qu'élise gravel avait créé et réalisé elle-même d'un bout à l'autre. celui-ci a été fait en collaboration avec plusieurs personnes. le contenu est plus riche et diversifié. j'ai bien rigolé. j'ajouterai tout de même que je me suis ennuyée du personnage de «nunuche» (et des illustrations d'élise) qu'on ne voit (presque) plus. on est plutôt dans l'hyperréaliste comique aux retouches photoshop. cette nouvelle facture graphique plaira aux ados... et adultes.
nunuche sur facebook
dans le cas de premium, le dernier numéro porte sur la créativité. je n'ai pas eu le temps de le lire, mais à le feuilleter lentement, plusieurs des textes avaient l'air vraiment intéressants. le contenu de cette publication est, en grande partie, tiré de plusieurs magazines (anglophones) sur la gestion. pouvoir lire ces textes en français est un bel avantage.
dans les deux cas, ces «bookzines» coûtent autour de 15 $.