j'y suis enfin allée ! et quelle belle expo ! à voir absolument. pourquoi ? pour les contrastes et les similitudes des deux cultures.
j'ai noté dans mon cahier que ça faisait du bien à mes yeux de voir ces affiches à la facture directe, sans effet ni fioriture. chez les russes, wodka, la coloration est limité souvent au noir et blanc, avec un ajout de couleur vive. chez le mexicain diego rivera, c'est l'utilisation d'objets divers déposés sur la vitre du numériseur que l'on agrandit outrageusement. la référence à l'humain quasiment partout. on y ajoute une petite touche à la main et bang ! ça prend tout à fait un autre sens.
et beaucoup, alors là vraiment beaucoup, de typo à la main.
rafraîchissant et décapant, je vous dis ! ça prend vingt minutes à visiter.
jusqu'au 16 avril au centre de design de l'uqam.
en complément de programme, à la porte d'à coté, une exposition d'affiches tchèques sur le cinéma à la cinémathèque.
j'ai noté dans mon cahier que ça faisait du bien à mes yeux de voir ces affiches à la facture directe, sans effet ni fioriture. chez les russes, wodka, la coloration est limité souvent au noir et blanc, avec un ajout de couleur vive. chez le mexicain diego rivera, c'est l'utilisation d'objets divers déposés sur la vitre du numériseur que l'on agrandit outrageusement. la référence à l'humain quasiment partout. on y ajoute une petite touche à la main et bang ! ça prend tout à fait un autre sens.
et beaucoup, alors là vraiment beaucoup, de typo à la main.
rafraîchissant et décapant, je vous dis ! ça prend vingt minutes à visiter.
jusqu'au 16 avril au centre de design de l'uqam.
en complément de programme, à la porte d'à coté, une exposition d'affiches tchèques sur le cinéma à la cinémathèque.
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