tiré d'une chronique médias de steve proulx dans le journal voir de la semaine passée : «Depuis cinq ans, l'utilisation de l'automobile à Montréal s'est accrue de 10,5 % alors que la population a augmenté de 3 % seulement. Toujours à Montréal, 47 % des gaz à effet de serre proviennent des transports, et la qualité de l'air est mauvaise une journée sur cinq. Entre 1989 et 2002, le nombre de VUS sur les routes a doublé. Pour 77 % des Québécois, l'automobile est l'unique moyen de transport. Un luxe qui coûte en moyenne 9000 $ par an.
Je pourrais poursuivre ainsi pendant trois pages, mais ce serait futile.»
il parle d'une émission de télé, mais son point de vue sur la question est intéressant.
demain, 22 septembre est la journée sans voiture.
j'aime les transports en commun parce que quelque part, j'y gagne du temps. si j'avais une voiture, je ne pourrais pas lire autant, même chose quand je change de ville. je compte ça en heure de lecture.
le problème c'est que la vie urbaine est développée en fonction de la voiture. et quand on ne possède pas cette chose, on est un peu perçu comme quelqu'un qui n'est pas «arrivé» dans la vie. dommage.
je n'ai rien contre la voiture. c'est pratique, c'est bien vrai.
mais devant cette trop grande quantité de véhicules, il faudra bien penser à changer nos habitudes, avant de ne plus pouvoir respirer.
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