wow grass a inventé une sorte de gazon qui pousse directement d'une couche textile (comparable au feutre) faite de matériel recyclé. l'avantage de cette technique permet d'utiliser ce végétal un peu partout. il suffit de mettre un plastique et ensuite le textile (surlequel le gazon a déjà poussé). arroser légèrement. voilà pour un effet saisissant. de là le nom «wow grass». voir ici l'installation dans la york minster pour un événement gala. impressionnant. à voir, les photos et le petit reportage (très instructif), on est rafraîchi.
dans un tout autre domaine, celui du livre et du livre d'artiste particulièrement, le port de gants blancs dans la manutention des documents est, depuis longtemps, de mise.
dans le monde des conservateurs et bibliothécaires, on semble remettre cette pratique en question. il y a eu un long débat sur cette question récemment sur une liste de spécialistes. à lire sur ce sujet cet article. on y dit que des mains bien propres sont mieux que des gants qui ne le seraient pas tout à fait.
je m'interroge sur c'est la notion de «mains bien propres». sûr que les conservateurs doivent se laver les mains souvent, mais dans le contexte plus large d'un vernissage ou d'une exposition en galerie, cela est moins sûr. je maintiens de mon côté les gants pour ces occasions, car les oeuvres sont fragiles. je remarque aussi que l'action de mettre des gants blancs incite les gens à feuilleter et à consulter différemment.
Tout à fait d'accord ! et des gants blancs propres sur des mains propres, c'est encore mieux ! Comme ceux là :
RépondreEffacergants blancs de coton fin