mardi, je suis allée voir le film Miss Potter.
Je connaissais Béatrix Potter (1866-1943), j'avais lu sur elle il y a longtemps, j'ai admiré en souriant ses histoires et illustrations. ce film a été, malgré tout, une découverte. il nous présente une femme de plus de 30 ans, toujours célibataire, qui écrit des histoires, dessine des personnages comme moyen de «survie intellectuelle», fait publier ses livres selon ses exigences et qui utlisera tous ses profits à acheter des propriétés dans le Lake District pour en conserver leur vocation de terres agricoles.
bien que le film soit, somme toute, conventionnel, Béatrix Potter elle, ne l'est pas. soulignons le fait trop rare de voir sur un grand écran l'histoire d'une auteure/ illustratrice/femmes d'affaires.
mercredi soir, une conférence au musée des beaux-arts par gilles daigneault sur la gravure et alfred pellan. conférence répondant à une présente exposition où toutes les gravures de pellan sont présentées (environ 75 oeuvres). ce fut finalement un bien beau tour d'horizon du début de la gravure dite contemporaine au québec. j'aime bien apprendre de nouvelles choses sur le milieu artistique.
et finalement, jeudi, allée voir puzzle danse, un spectacle nous présentant quatre chorégraphies en duo de quatre chorégraphes différents, deux français et de deux québécoises.
riche de style et d'émotions. bien que les propositions chorégraphiques venues de france soient un peu trop narratives pour moi.
Je connaissais Béatrix Potter (1866-1943), j'avais lu sur elle il y a longtemps, j'ai admiré en souriant ses histoires et illustrations. ce film a été, malgré tout, une découverte. il nous présente une femme de plus de 30 ans, toujours célibataire, qui écrit des histoires, dessine des personnages comme moyen de «survie intellectuelle», fait publier ses livres selon ses exigences et qui utlisera tous ses profits à acheter des propriétés dans le Lake District pour en conserver leur vocation de terres agricoles.
bien que le film soit, somme toute, conventionnel, Béatrix Potter elle, ne l'est pas. soulignons le fait trop rare de voir sur un grand écran l'histoire d'une auteure/ illustratrice/femmes d'affaires.
mercredi soir, une conférence au musée des beaux-arts par gilles daigneault sur la gravure et alfred pellan. conférence répondant à une présente exposition où toutes les gravures de pellan sont présentées (environ 75 oeuvres). ce fut finalement un bien beau tour d'horizon du début de la gravure dite contemporaine au québec. j'aime bien apprendre de nouvelles choses sur le milieu artistique.
et finalement, jeudi, allée voir puzzle danse, un spectacle nous présentant quatre chorégraphies en duo de quatre chorégraphes différents, deux français et de deux québécoises.
riche de style et d'émotions. bien que les propositions chorégraphiques venues de france soient un peu trop narratives pour moi.
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