on parlait d'elle et de son nouveau livre dans le ICI de la semaine dernière. en passant par l'université de montréal, sa création faisait la couverture de «quartier libre», une publication de l'université.
julie doucet a passé par la bande dessinée pour bifurquer vers la poésie et le collage. Je me suis retrouvée en terrain connu en voyant les quelques exemples aperçus jusqu'ici, bien que je n'ai pas encore vu son dernier livre. le titre «je suis un k» est tellement intriguant que je vais essayer de mettre la main là-dessus ce week-end.
dans son entrevue avec le journal ici, elle raconte : « Avec «J comme Je», je suis passée au texte et au texte en mots découpés. Esthétiquement, c’est très joli, mais, comme je n’ai pas d’expérience en écriture, alors pour moi découper des mots, c’était les emprunter, comme je n’étais pas assez sûre de moi. J’utilise des vieux magazines féminins des années 60. Alors les fontes sont très variées et le vocabulaire est ben plus drôle, comme les pubs de frigo, par exemple. Du vocabulaire complètement off. J’avais une idée générale de ce que je voulais dire, et je m’inspirais des mots que je voyais pour bâtir ce que je voulais écrire.»
tout à fait ce que je fais depuis un bout de temps maintenant. écrire avec les mots des autres...
cheminement vraiment intéressant. à suivre !
comme le journal ICI ne laisse pas son journal en ligne en archive, l'entrevue n'est plus disponible.
et pour celle de quartier libre, elle n'est pas encore en ligne.
publié par l'oie de cravan.
julie doucet a passé par la bande dessinée pour bifurquer vers la poésie et le collage. Je me suis retrouvée en terrain connu en voyant les quelques exemples aperçus jusqu'ici, bien que je n'ai pas encore vu son dernier livre. le titre «je suis un k» est tellement intriguant que je vais essayer de mettre la main là-dessus ce week-end.
dans son entrevue avec le journal ici, elle raconte : « Avec «J comme Je», je suis passée au texte et au texte en mots découpés. Esthétiquement, c’est très joli, mais, comme je n’ai pas d’expérience en écriture, alors pour moi découper des mots, c’était les emprunter, comme je n’étais pas assez sûre de moi. J’utilise des vieux magazines féminins des années 60. Alors les fontes sont très variées et le vocabulaire est ben plus drôle, comme les pubs de frigo, par exemple. Du vocabulaire complètement off. J’avais une idée générale de ce que je voulais dire, et je m’inspirais des mots que je voyais pour bâtir ce que je voulais écrire.»
tout à fait ce que je fais depuis un bout de temps maintenant. écrire avec les mots des autres...
cheminement vraiment intéressant. à suivre !
comme le journal ICI ne laisse pas son journal en ligne en archive, l'entrevue n'est plus disponible.
et pour celle de quartier libre, elle n'est pas encore en ligne.
publié par l'oie de cravan.
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