hier, dans le bulletin de Dense Discovery, l'auteur du blogue faisait référence à un texte (en anglais) où l'on expliquait que bien sûr, on a exploité la terre à fond la caisse, mais que lui avons-nous donné en retour? à force de s'en éloigner, on ne sait plus trop comment se reconnecter avec elle.
«Ethnobiologists tell us that our great-grandparents spoke fluent natural history. They knew the names and personalities of dozens of birds and hundreds of plants. Today the average American school child can recognize more than a hundred corporate logos. They can give a name to about ten plants, and these include such categories as ‘Christmas Tree’ and ‘Grass’. We have lost an entire vocabulary, of speech, of experience, and of relationship. Our fundamental currency of relationship, our highly evolved capacity for paying attention to those species who sustain us, has been subverted in a kind of intellectual hijacking. How can we care for them, monitor their well-being, and fight for their existence if we don’t even know their names?»
le texte complet est ici.
en bref, si on ne peut pas nommer les fleurs, les arbres et les animaux de la nature qui nous entoure (de moins en moins), il est presque normal de plus s'y intéresser. achetons des guides dans les livres usagés pour en apprendre plus.
je vous propose ce magnifique reportage sur colossal où le photographe Joshua Nowicki a saisi des colonnes de sable qui se forment l'hiver sur le bord du lac michigan. magnifique.
***dernière nouvelle: vous êtes vraiment nombreux à vous intéresser au guylainelab de février. j'en suis très très heureuse. j'ai tellement hâte à nos rendez-vous quotidiens, c'est à dire la mise en ligne votre page du jour. cela sera très stimulant. n'hésitez pas à partager avec votre entourage.
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