j'ai son livre «it is beautiful...then gone» (publié en 2005) depuis deux ans sur ma table d'atelier.
martin venezky est un graphiste américain qui fait des choses , à mon point de vue, tout à fait extraordinaires. j'ai feuilleté son livre très souvent. je ne fais que quelques pages à chaque fois. trop fort. et finalement, vendredi dernier, je me suis mis à le lire.
on commençait à parler beaucoup des designers dans les années 90. et venesky ne parlait pas trop fort. son travail le faisait pour lui. ce qu'il y a de très particulier, c'est son approche. beaucoup de «à la main», finition ordinateur. de l'émotion et aucune règle sinon un vrai souci du contenu à mettre en page. plutôt rare et très artistique.
dans la première partie de son livre, il parle des nombreux objets qu'il ramasse, de leur «mise en place» dans son environnement, et combien les souvenirs sont importants pour lui. il explique simplement sa démarche, il parle de ses collages organiques qui s'équilibrent d'eux-mêmes.
selon lui, il y aurait deux niveaux dans la société, la version «top-down», le niveau organisé de nos sociétés, le niveau qui prend du temps à bouger à cause de sa structure figée et il y a «bottom-up», celles du peuple, la vague organique constamment en mouvement qui peut bouger spontanément.
vraiment intéressant.
c'est comme son travail, je le lis quelques pages à la fois, et je prends des notes et ça m'inspire.
pour lire une entrevue.
martin venezky est un graphiste américain qui fait des choses , à mon point de vue, tout à fait extraordinaires. j'ai feuilleté son livre très souvent. je ne fais que quelques pages à chaque fois. trop fort. et finalement, vendredi dernier, je me suis mis à le lire.
on commençait à parler beaucoup des designers dans les années 90. et venesky ne parlait pas trop fort. son travail le faisait pour lui. ce qu'il y a de très particulier, c'est son approche. beaucoup de «à la main», finition ordinateur. de l'émotion et aucune règle sinon un vrai souci du contenu à mettre en page. plutôt rare et très artistique.
dans la première partie de son livre, il parle des nombreux objets qu'il ramasse, de leur «mise en place» dans son environnement, et combien les souvenirs sont importants pour lui. il explique simplement sa démarche, il parle de ses collages organiques qui s'équilibrent d'eux-mêmes.
selon lui, il y aurait deux niveaux dans la société, la version «top-down», le niveau organisé de nos sociétés, le niveau qui prend du temps à bouger à cause de sa structure figée et il y a «bottom-up», celles du peuple, la vague organique constamment en mouvement qui peut bouger spontanément.
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c'est comme son travail, je le lis quelques pages à la fois, et je prends des notes et ça m'inspire.
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