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débat : 35 ou 30 heures de cours ?

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j'ai une question à poser à mes actuels et anciens élèves

notre direction veut réduire le cours de 35 à 30 heures/semaine pour aider les élèves qui trouvent le cours difficile. bien que nous offrions de la « récupération » à qui la demande. toujours selon eux, nous aurions moins d'échecs et d'abandons avec cette formule. ça allonge le cours de 3 mois. on passe d'un cours de 13 à 16 mois. le « 30 heures » donnerait aux élèves un vendredi après-midi de libre. les journées ne seront donc pas plus courtes et la récupération se donnerait le vendredi pm.

ça fait 12 ans que je donne mes cours à des élèves qui vont au rythme de 35 heures, et je dois avouer que, bien qu'exigeant pour eux, ce rythme est plus près de la réalité du marché du travail. donc nos élèves, en plus de leur formation académique, se préparent aussi à être ponctuel et à être dédié à leur métier (faire de longues longues heures...). de plus, je suis loin d'être convaincue que ce changement aura un impact sur les résultats. nous savons que plusieurs centres donnant le cours Procédés infographiques à 30 heures ont constaté une baisse de clientèle et un nombre d'abandons important dans la dernière année.

le métier d'infographiste est exigeant. dans le but d'augmenter l'employabilité de nos finissants/finissantes, n'est-il pas normal que la formation le soit aussi ?

qu'en pensez-vous ? j'aimerais bien avoir un autre point de vue.

merci
16 commentaires on "débat : 35 ou 30 heures de cours ?"
  1. Anonyme21 h 48

    Salut Guylaine,

    Je n’ai manqué aucun cour (sauf la journée où j'étais vert, ordre de la direction), je me suis impliqué à 110% dans tous les modules et plus, je suis resté certains soirs après les cours et je ne suis pas prêt à dire que 35 heures c'est suffisant !

    Je crois sincèrement que cette idée n'est pas bonne. Je vois encore que la direction ne comprend pas que pour motiver les étudiants ils doivent s’impliquer, qu’ils parlent à leurs contacts et les invitent à donner des projets aux étudiants. Pour garder les étudiants dans les classes et leurs donner la passion ça prend des challenges pas des vendredi off, je n’ai jamais vue la direction challenger ma classe avec des projets… Je crois qu’au contraire elle devrais être plus longue cette formation, j’ai tellement appris en deux ans et j’ai pas terminé… Merci aux professeurs de Dep d’info.

    J’aimerais ajouter que j’ai reçue le Grafika no 115, ont y parle de la relève... J’ai écrit à Monsieur Mickael Carlier l’année passée car je trouvais ça plate de voir qu’il s’intéressait seulement aux universitaires ou aux écoles de prestige du domaine graphique, il serait bien de voir des travaux d’étudiants du CFPV l’année prochaine ! La direction pourrait lui donner un coup de fil et lui dire leur mécontentement, ça serait un début et une belle façon de challenger les étudiants du département…


    Christian Lapointe
    concepteur
    infographiste
    Narcographe.

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  2. Anonyme10 h 12

    C'est une idée des plus incongrues je pense.
    Enfin si j'avais été victime de cette réforme j'aurais bien entendu rempli certaines boîtes de réception d'e-mails assasins.

    Je m'explique. Alors que j'ai fais mon cours à Verdun, j'étais dans le programme Emploi-Québec, qui bien très utile et très motivant, me menait tout droit sous le seuil de la pauvreté. En fait selon les calculs de fonctionnaires de E-Q j'aurais très bien pu m'organiser avec seulement 50$ d'argent de poche par mois. Ce qui me força à travailler la fin de semaine, et nécessairement en dessous de la table, puisque passer 50 $ de gain par semaine on nous coupe sur le chèque.
    S'il avait été question d'étirer la formation, je ne suis pas sure que j'aurais été en mesure de tenir le rythme école-travail. Ça n'aurais pas alléger ma tâche, au contraire j'aurais calculé ça en loyers supplémentaires, pour la même somme de connaissances acquises, et j'aurais été frustrée je pense.

    Je suis sûre que ma situation n'était pas unique, et qu'elle est le lot de bien des étudiants encore. En regard à çela, ça semble pas bien brillant d'étirer la formation.

    Quant au ti-cul qui reste chez ses parents et qui trouve donc ça cool de pas avoir d'école le vendredi...c'est peut-être là le noeud du problème...en serait-on à modifier une formation pour des raisons de clientèlisme???

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  3. Anonyme12 h 54

    Bonjour Guylaine,

    Le nombre d'heures de cours par semaine ne change pas grand chose. Quand les étudiants sentent que c'est un privilège - au lieu d'un droit - de faire partie d'un programme, ils mettent le temps et l'énergie nécessaire pour réussir.

    Pour que le fait d'appartenir à un programme soit perçu comme un privilège, ça implique que la direction a une véritable vision du programme offert, qu'elle a des exigences de qualité par rapport aux candidats, qu'elle a une conscience aiguë de la pertinence de la formation en infographie offerte au Centre. Ça implique aussi que ces principes et valeurs sont transmis quotidiennement à tous. Présentement, c'est loin d'être le cas, et le projet d'étendre la durée de la formation n'en est qu'un exemple.

    Le jour où la direction comprendra qu'il est essentiel de faire une sélection des étudiants en fonction de leurs aptitudes, de leurs talents, de leur motivation, au lieu d'accepter pratiquement n'importe qui pour obtenir un nombre minimal d'étudiants dans un programme, le problème d'abandons en cours de route ne sera pas réglé (comme il n'est pas réglé ailleurs dans les autres centres de formation professionnelle qui ont des difficultés de recrutement et de rétention des étudiants). Mais, au moins, on arrêtera d'essayer de faire autre chose que de gérer la décroissance.

    Au lieu de faire moins avec moins, on pourra progressivement faire plus avec moins et, qui sait, plus avec plus...

    Benoit Beaudoin
    ex-enseignant au CFPV
    concepteur multimédia

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  4. Anonyme14 h 02

    Une chose est sûre, une des forces du programme actuel est de rapprocher la formation de la réalité du marché du travail. Il faut donc accepter, à mon avis, que des élèves quittent la formation si celle-ci ne leur convient pas. Ce n'est pas rendre service aux élèves que de s'adapter à eux. On leur enseigne quoi? Un mensonge? Imaginez l'image qui est envoyée aux étudiants : l'Institution s'adapte à leurs besoins! Imaginez les conséquences d'une telle décision!

    Est-ce à croire que les entreprises feront de même? Est-ce que le milieu tout entier des communications graphiques fera la même chose? Dans une industrie où les délais sont serrés, les horaires constamment chamboulés, les livrables toujours à remettre pour hier, les employés sont d'avantage appelés à s'adapter que les entreprises. C'est tout un défit que les personne faisant partie de la nouvelle génération, constituée d'enfant-rois, auront à relever : apprendre à fonctionner dans un monde qui ne tourne pas autour d'eux.

    Que feront ces élèves lorsqu'ils se retrouveront devant des semaines de 60-75 heures? Être disponible fait partie des compétences professionnelles, qu'on le veuille ou non. Être assidu aussi. Aucune entreprise ne peut se permettre d'accepter d'avoir des employés qui trouvent trop difficile de travailler, qui ne peuvent évoluer de manière autonome et de s'adapter aux différentes contraintes de chaque clients, de chaque projets, de chaque livrables. N'oublions pas non plus que dans notre industrie, des semaines de 30 heures, ça n'existe tout simplement pas (à moins d'être pigiste et d'en décider autrement).

    Enfin, mis à part diluer l'information, on peut sincèrement se demander en quoi diminuer de cinq heures le nombre total d'heures d'enseignement par semaine changerait quoi que ce soit à la qualité de la formation. Jusqu'à maintenant, les résultats ont été concluants et aucun finissant n'a trouvé le cours impossible à terminer. La qualité et le nombre de ceux-ci prouvent justement le contraire. Si un horaire de 40 heures par semaine devient un outil de sélection naturel, eh bien tant mieux! Il y a suffisament de candidats médiocres dans l'industrie sans que l'on doivent en former d'autres. À en juger par les cv que je reçois régulièrement, un peu de rigueur et de discipline ne feraient pas de tort à personne.

    Évidemment, dans un monde tourné vers la rentabilité et la quantité plutôt que la qualité, la vision d'une formation professionnelle basée sur des valeurs et des objectifs scolaires non-écrits et non officiels peut paraître archaïque. Cependant, il ne faut jamais oublier que si on permet à la structure scolaire de s'adapter aux individus, c'est carrément l'employabilité de ceux-ci qui se retrouve limitée.

    À mon avis, ces changements souhaités par la direction soulèvent des questions beaucoup plus importantes que le simple désir de vouloir contrer des abandons et des échecs : quels sont les individus que nous désirons former? quelle image le CFPV veut-il véhiculer dans l'industrie? quel type de reconnaissance veut-on donner à la formation professionnelle en général?

    Il semble important ici de ne pas tomber dans le piège de la facilité où l'on prend les symptômes pour des maladies et d'approfondir plutôt la réflexion afin de trouver les raisons profondes de ces abandons et ces échecs. Peut-être alors que la solution ne se retrouvera pas au coeur de la structure du programme mais peut-être ailleurs?

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  5. Anonyme14 h 23

    À mon avis, certains d'entres vous disent de très bon point que je comprends, mais en tant qu'étudiante en ce moment, je me dois de dire que c'est difficile de concilier travail-études avec l'horaire que j'ai. Je n'habite pas près de l'école (env. 1h de métro matin et soir quand il n'y a pas de difficultés). Alors quand je cherche un emploi c'est difficile de trouver un emploi qui peut me donner un horaire qui fonctionne avec l'école. J'ai trouvé, et je sais que d'autre personne du programme actuellement en ont aussi, mais c'est difficile a ce moment là de pouvoir rester pour de la récupération le soir étant donné que l'on doit se déplacé à la vitesse de l'éclair pour se rendre au milieu de travail.
    Avoir le vendredi me permetterais soit de travailler toute la journée si je maîtrise bien la matière, ou encore de récupéré ce que je n'avais pas bien saisi durant la semaine.

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  6. Anonyme19 h 03

    Je crois qu'on ne devrait pas allonger la formation, car pour moi monétairement ça serait une véritable catastrophe. On s'endette à y aller... On veut y sortir pour pouvoir les rembourser et faire ce qu'on aime. 700$ par mois pour vivre (prêts & bourses), sans se payer de divertissement, manger à sa faim!? 13 mois c'est bien assez.

    Une étudiante du CFPV

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  7. rebonsoir
    je trouve vos commentaires très pertinents et vos points de vue très intéressants. ça rend l'absurdité de cette décision plus réelle. je réalise que nous sommes plusieurs à penser là même chose qu'on soit prof, ex-prof, étudiant (e) ou ex étudiant (e).
    je ne doute pas que le cours est difficile à traverser. je l'ai toujours dit, j'ai de l'admiration pour mes finissants, mais de terminer sa journée 10 minutes plus tôt pour finir 3 mois plus tard... c'est mettre un pansement à coté du bobo.
    encore merci. continuez, enrichissez le point de vue des autres. c'est à ça que sert ce «post».
    j'adore vous lire !
    :)

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  8. 30 heures, absolument. Plus facile pour le bourrage de crâne comme celui-là (ie: voir process créatif à Guylaine Couture sur isotopelab.com )

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  9. Anonyme23 h 08

    Salut Guylaine!

    je dois avouer avoir manqué souvent des cours, je suis vraiment pas un modèle de ce côté la, et je m'assume entièrement, mais je crois que ça serai une erreur de changer tout ça! c'est intensif comme cours, et c'est pas pour rien. dans le marché du travail c'est 40 fois plus exigeant que ça.

    les élèves qui ont de la difficulté devrait au contraire avoir plus d'heure de cours, au lieu d'un vendredi libre. (je dis libre, parce qu'a mon souvenir, il y avait jamais personne en récupération le soir, donc j'imagine un vendredi de congé...)

    en gros rush, on peut facilement faire des 50 heures/sem. et 30 hres a moin d'être à la pige ça existe pas je crois. c'est au moin 40hres/semaine, minimum.

    en ce moment je fais 40hres/sem + 12 heures/semaine de cours de soir au Cégep du Vieux-Montréal. je me dis que oui c'est difficile, mais que c'est la réalité du marché du travail. c'est un millieu stressant, et exigeant, donc 35 heures de cours, c'est pas grand chose.

    j'ai l'impression de me répéter, ou de pas bien exprimer mon point, mais bon, j'espère que tu vois ou je veux en venir :s :)

    sinon, je dis, plus de cours de création avec toi, pour les élèves! vraiment ça aide beaucoup. surtout quand après tu travailles dans un millieu pas créatif, c'est bien d'avoir eu beaucoup de cours créatif, ça aide a rester l'esprit plein d'idées... j'aurai aimé en avoir plus :)

    bref, un vendredi créatif, au lieu de vendredi de congé! :)

    Marie-France D.
    Infographiste /
    étudiante en graphisme

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  10. Anonyme11 h 38

    Re salut Guylaine et les autres,

    Moi aussi je l’avais pas facile, j’avais un garçon de jeune age, je devais l’emporté a la garderie et le recherché, j’avais le souper a faire et pleins autres choses mais j’étais là ! Je ne manquais aucune occasion d’investir mon temps pour le département. Je me souviens lorsque Réal avait demandé d’avoir un responsable de la récupération dans le local, personne ne voulait la faire, je les faites pendant presque tout le temps de la formation et sans compter le nettoyage des équipements (pinceaux, lavabo, local des vieux Mac, local de sortie de film, etc.), j’étais pas seul mais c’était toujours les mêmes (bizarre, ils ont tous terminer la formation !).
    Je revois certains étudiants (es) avec qui je passais des journées entières à apprendre le métier (l'art) qui selon moi est sans limite, et je me posais la question suivante : C'est quoi il (elle) fait là ? Il est certain qu'une évaluation plus étoffée enlèverait certaine pomme pourrîtes mais l'éducation n’est pas pour tout le monde ? Je me demande si j'aurais été accepté car il faut dire que mon orthographe n'était pas fort...

    Q’ont se le dise, une formation intensive ou un travail c’est exigent, C’est pas 35 heures qui mets un stress assez important pour faire décrocher des étudiants, voyons ! L’implication est la clé du succès ! Des étudiants qui s’impliquent sont des étudiants motivés, les journées passe plus vite et ils seront moins absents au cours, sans compter que les profs eux aussi seront motivés…

    Direction, à votre marque, soyez prêt, go partez…

    Christian Lapointe
    concepteur
    infographiste
    Narcographe.

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  11. Anonyme11 h 47

    Salut Guylaine,

    Mille excuses mais dans mon post précédent il faut lire

    mais l'éducation n’est t'elle pas pour tout le monde ?

    Ouin j'ai encore des problèmes avec mon orthographe...

    Christian Lapointe
    concepteur
    infographiste
    Narcographe.

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  12. Tous des points de vue valides, c'est clair. Je tiens à mon 30 par contre, c'est psychologique en même temps. Tu peux pas tout a fait comparer avec "l"industrie" et ses stress qui viennent avec, selon moi dans l'apprentissage c'est différent, en autant que ce soit bien enseigné comme Guylaine à pu me mettre "en contexte" de la job au meilleur de ses capacités (sans oublier qu'elle a complètement changé ma vie) mais dans l'industrie (whatever they call it) y'a du $$$$$$$$$$$$ au bout de tes deadlines et tes overtime, ça change absolument absolument absolument tout.

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  13. Anonyme13 h 29

    sans aucun doutes, 35h.

    c'est tout simplement plus près de la réalité du marché du travail..

    En 5 ans, j'ai rarement, voir jamais travaillé moins de 35h/40h par semaine..

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  14. Anonyme13 h 08

    ALLO!!
    je viens de tomber par hasard sur ton blog! Ca fait longtemps que j'ai pas eu de tes nouvelles alors maintenant j'en ait!

    Intéressante discussion!
    Pour ma part, j'ai vraiment aimé ma formation au C.F.P.V et j'ai trouvée la formation excellente pour mes besoins! C'est un cours complet dans un nombres de mois raisonnable.

    Ceux qui ne sont pas en mesure de prendre un cours a temps complet devraient s'inscrire au Cegep et prendre les cours a leur rhytme et avec le nombres de cours/sessions possible. Chaque personne a un rhytme de vie différent on ne peux pas juger les autres la desssus mais au moin ils devraient choisir un cours qu'ils pourront terminer sinon ils enlevent la chance a d'autres. Puis de toute facon avant il y avait les cours du soir pour accommoder les gens qui travaillaient le jour et a ce que je sache il y avait autant d'abandons/échecs?

    Avoir des enseignants de qualités m'a beaucoup motivée a etre présente au cours a tout les jours!
    Ce sont les etudiants qui ont le controle sur les abandons et les échecs pas la formation prof... messemble...

    J'ai hate de voir ce que la direction va décider, tu nous tiens au courant?

    ::Mélodie Lecompte::

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  15. Anonyme11 h 48

    honnêtement, je reviens là-dessus, pour passer à 30 heures, ça prendrait des arguments valides qui s'inscrivent dans le cadre d'une formation professionnelle. Comment peut-on, pédagogiquement, justifier cette décision?

    L'argent, le travail-étude, les enfants et tout le reste, ça ne change rien au fait qu'une fois diplômé, vous allez devoir en faire encore plus!

    Le programme forme des infographes prêts à l'emploi. Pas des étudiants qui achèveront leur formation une fois rendu sur le marché. L'industrie ne peut pas réellement se permettre ça.

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  16. Anonyme12 h 06

    Bonjour!
    Ca fait presque 4 ans que j'ai terminé ma formation, et de mémoire j'étais dans un groupe ou la motivation était très faible. Je crois donc sincèrement que les gens manquent de motivations. Je travaille depuis la fin de ma formation au même endroit que j'ai fait mon stage et jamais j'ai eu un vendredi après-midi de libre, jamais. En principe je fais 35 heures semaine mais il faut ajouter à cela les heures supplémentaires qui sont énormes en périodes estivales (pour mon cas). Travailler la fin de semaine et après les heures de travail font partie de ma routine.

    Bref je crois donc que réduire les heures de cours est une très mauvaise idée. Pendant ma formation, je travaillais la fin de semaine, 20 heures, plus l'école, plus... tout le monde ont les même préoccupations et ils ne disparaitront pas lorsque la formation sera terminée! loin de là!
    Je faisais parti de ceux qui restaient après les cours, longtemps même. Lors du module ou l'ont crée notre portfolio, j'ai pris à coeur ce projet et ça a valu le coup! Je n'ai jamais eu d'échec et je réussissais quand même à vivre! Je ne trouve pas que la formation est si difficile que ça... Si tu aimes, je ne vois pas le problème...

    Isabelle Lefrancois

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